Suite
résumé de l'épisode précédent :
Papy... tu as encore bu pour dire des conneries comme ça! "
" TESTAUPAU ! regarde sur l'arbre on voit encore le fou "
" en plus tes speculoos sont dégueulasses"
Le vieux ne se sentit plus de joie... La suite ?
et pour montrer sa belle voix... poussa un cri et sursauta.
Prenons un moment pour regarder autour de nous et considérer l'ambiance de la pièce.
Dehors, il faisait froid, c'était l'automne, les feuilles des arbres, humides et glissantes, s'amoncellaient au pas de la porte, la plus frappait dur sur les vieux carreaux cabossés de vieillesse, embués et recouverts de taches miniscules et verdâtres. Le vent dénudait les quelques arbres encore vêtus qui subsistaient.
Le sol de la cabane du vieux était fait de larges planches bien collées les unes aux autres. Les murs quant à eux étaient faits d'épais rondins de bois foncé, et bariollés de ci de là de photos sépia, ou de trophées bien maigres de chasse. Au fond de la pièce crépitait un feu de bois, la cheminée paraissait être le seul endroit par lequel l'air pouvait entrer ou sortir. Il faisait chaud, trop chaud... mais c'est ce genre de châleur qui est agréable lorsqu'on rentre dans une pièce après une longue marche sous la pluie. Maintenant assis sur son fauteuil, le vieux ferma les yeux un instant, pour se reposer. Le gamin, assis sur une des deux seules chaises, chipotait avec un couteau à tartiner, il le faisait tourner , le plus longtemps possible ! sur la table; ce qui avait le don d'agacer le vieillard.
"- Mais va tu donc arrêter !?
Tu prends un malin plaisir à m'agacer, toi que j'ai recueilli ! Sans moi tu serais dans un arbre comme le fou à mater les gens qui passent, à bien les mater, puis leur sauter dessus pour les bouffer! sale gamin !
- L'alcool ne te réussit pas, la plate que tu as cassée hier t'as méchamment amoché le peux qu'il te restait dans la tête, vieux fou ! Tes histoires n'intéressent personne ! elles sont nulles, t'es aussi dégueulasse que tes speculoos, regarde toi ! J'ai jamais demandé à rester ici !
- 'Vais faire un tour !
- Ne reviens pas !"
Le vieux pris son tchapè, enfila son paletot usé qu'il avait tant bien que mal rafistolé aux coudes, il avait les airs d'un vieux canard rabougri sans sa canne. Il la prit, ouvrit la porte d'entrée, passa un pied, se retourna, considéra la pièce, puis sorti et ferma la porte.
Le vent glacé faisait remuer sa veste, la pluie l'alourdissait petit à petit. Son visage devenait rouge, le chapeau le protégeait tant bien que mal des gouttes épaisses qui fusaient vers le sol. Il alla sur la tombe d'un inconnu, perdue au milieu du bois, et lui parla, comme à son habitude... il parlait à voix basse et grave.
" -Il m'a encore foutu dehors ce ptit enfoiré, jlui ai rien fait à cte djône...
un moment
- Pis cesto cureye avant ! mais depuis qu'il m'a vu tuer le chien... Il était malade ! I souffrait ! "
Une larme, il avait dit ces mots pour se convaincre qu'il n'avait rien fait de mal, mais il savait très bien à quel point le gamin aimait son chien, il savait qu'il l'avait tué dans une de ses crises de delirium, celles qu'il a de plus en plus régulièrement avec le temps, l'accoutumance à la bouteille.
Après quelques heures, il se décida à rentrer. Mais Louis était parti ...
suite dans un mois !
alternance de joies et de peines, d'allégresse et de contrition. Marquez bien les temps ! Rythme cardiaque normal ! C'est le premier dansodrame mimé, dansons la bostella !
jeudi, octobre 13, 2005
Un bon vieux pink floyd
ne peut pas faire de mal.
Shine on your crazy diamond --- Pink Floyd
Remember when you were young, you shone like the sun.
Shine on you crazy diamond.
Now there’s a look in your eyes, like black holes in the sky.
Shine on you crazy diamond.
You were caught on the crossfire of childhood and stardom, blown on the
Steel breeze.
Come on you target for faraway laughter, come on you stranger, you legend,
You martyr, and shine!
A écouter absolument !
C'est une chansons qu'étant plus jeune encore je détestais, mais suite aux écoutes répétées, je ne peux m'empêcher de penser que c'est un chef d'oeuvre. Il y a beaucoup de chansons comme ça qui paraissent ennuyantes, ou trop longues ou trop "on ne sait quoi", mais qui finalement gagne de la saveur comme du bon vin au fil de notre temps personnel, au fil des écoutes, le morceau se dévoile à nous.
Plus particulièrement, en ce qui concerne Shine on your crazy diamond :
Dès la première partie, car il faut savoir qu'il est composé de plusieurs parties, on entend un synthé qui transporte, une nappe apaisante, qui peu à peu nous emmène dans les rêves, après un long moment de synthé qui transporte, la guitare arrive avec un solo simple mais tellement efficace, tout semble logique et la musique me transporte de plus en plus vers je ne sais quel continent étrange, de grands lacs de boue bouillonant, des espaces plus "célestes"... Bref un véritable paysage s'offre à l'imagination par le biais de cette musique que je ne saurais qualifier sous peine de tomber dans les plus vagues clichés qu'on peut lire dans certains magazines qui disent tout et rien à la fois en parlant d'une musique en terme de planante ou aérienne...
Et au bout d'un moment, la guitare sort son riff, clair comme du crystal, le répétant plusieurs fois... mais quand est ce que le chant va arriver ? ... encore un superbe solo puis le chant arrive remember when... et là chose étrange que je n'avais jamais remarquée... juste avant you shine... un rire assez malsain se fait entendre, comme pour marquer la transition du rêve au concret, du paysage au discour de la musique.
Le reste de la chanson, je vous le laisse découvrir, ce serait pour moi comme de raconter la fin d'un film, et de plus, ce n'est pas avec ce texte plus ou moins foireux que j'arriverais à vous faire comprendre la chanson, car évidemment c'est plus que quelques mots qui me sont propres et que j'attribue à un souvenir de chansons. Ecoutez la ! c'est tout ce que j'aurais du dire,
SHIIIIINE ON YOUR CRAAAAZY DIAMOND tululu tu tu tu...
ne peut pas faire de mal.
Shine on your crazy diamond --- Pink Floyd
Remember when you were young, you shone like the sun.
Shine on you crazy diamond.
Now there’s a look in your eyes, like black holes in the sky.
Shine on you crazy diamond.
You were caught on the crossfire of childhood and stardom, blown on the
Steel breeze.
Come on you target for faraway laughter, come on you stranger, you legend,
You martyr, and shine!
A écouter absolument !
C'est une chansons qu'étant plus jeune encore je détestais, mais suite aux écoutes répétées, je ne peux m'empêcher de penser que c'est un chef d'oeuvre. Il y a beaucoup de chansons comme ça qui paraissent ennuyantes, ou trop longues ou trop "on ne sait quoi", mais qui finalement gagne de la saveur comme du bon vin au fil de notre temps personnel, au fil des écoutes, le morceau se dévoile à nous.
Plus particulièrement, en ce qui concerne Shine on your crazy diamond :
Dès la première partie, car il faut savoir qu'il est composé de plusieurs parties, on entend un synthé qui transporte, une nappe apaisante, qui peu à peu nous emmène dans les rêves, après un long moment de synthé qui transporte, la guitare arrive avec un solo simple mais tellement efficace, tout semble logique et la musique me transporte de plus en plus vers je ne sais quel continent étrange, de grands lacs de boue bouillonant, des espaces plus "célestes"... Bref un véritable paysage s'offre à l'imagination par le biais de cette musique que je ne saurais qualifier sous peine de tomber dans les plus vagues clichés qu'on peut lire dans certains magazines qui disent tout et rien à la fois en parlant d'une musique en terme de planante ou aérienne...
Et au bout d'un moment, la guitare sort son riff, clair comme du crystal, le répétant plusieurs fois... mais quand est ce que le chant va arriver ? ... encore un superbe solo puis le chant arrive remember when... et là chose étrange que je n'avais jamais remarquée... juste avant you shine... un rire assez malsain se fait entendre, comme pour marquer la transition du rêve au concret, du paysage au discour de la musique.
Le reste de la chanson, je vous le laisse découvrir, ce serait pour moi comme de raconter la fin d'un film, et de plus, ce n'est pas avec ce texte plus ou moins foireux que j'arriverais à vous faire comprendre la chanson, car évidemment c'est plus que quelques mots qui me sont propres et que j'attribue à un souvenir de chansons. Ecoutez la ! c'est tout ce que j'aurais du dire,
SHIIIIINE ON YOUR CRAAAAZY DIAMOND tululu tu tu tu...
Une bien étrange impression ...
C'est bien ce qui s'est produit dans mon esprit aujourd'hui.
Descendant paresseusement les escaliers de la gare, j'ai soudain eu l'impression de tomber. L'impression malsaine de ne pouvoir me rattrapper à quoi que ce soit, une sorte de vertige.
C'est bien ce qui s'est produit dans mon esprit aujourd'hui.
Descendant paresseusement les escaliers de la gare, j'ai soudain eu l'impression de tomber. L'impression malsaine de ne pouvoir me rattrapper à quoi que ce soit, une sorte de vertige.
18h34, je suis dans mon quatrième train de la journée, et des idées germent en moi, mais au plus je les creuse, au moins j'ai l'impression d'y comprendre quelque chose, d'ailleurs je ne m'en rappelle plus. Je me suis sorti des méandres vaseux après quelques instants, m'apercevant que je fixais une tache étrange sur le pare soleil de la fenêtre du train. Une tache avec toute la violence qu'elle porte en elle, tout le choc du liquide propulsé on ne sait comment là dessus; mais coupée en deux, un rectangle parfait la scindait tout aussi parfaitement. Arrivé à la gare, je descends la rue qui me mène chez moi d'un façon machinale, la tête vide, me rendant compte petit à petit que rien du chemin ne s'inscrivait dans ma mémoire, tant et si bien qu'avant de m'en rendre compte, j'introduis ma clé dans sa serrure, je passe la porte, je pose mon sac en me demandant depuis combien de temps j'étais dans cet état vaseux, comme si tout n'était qu'un de ces longs soirs d'hiver ( aaah, le fameux cliché du long soir d'hiver )
Je me demande si peu à peu je ne m'endors pas ...
Je me demande si peu à peu je ne m'endors pas ...
vendredi, juin 10, 2005
Encore une belle journée qui s'annonçe !
Mais vont ils arrêter de se battre ? ? ?
Je peux pas leur reprocher de s'amuser, mais quand ils profitent des examens pour doubler le volume des rires et des coups dans la gueule... rahaahahahaha... le tout "gracieusement" mis en mélodie ( si je puis m'exprimer ainsi ) par un saxophone qui m'éclate les oreilles... mais bon ça vous n'en avez rien à foutre.
D'ailleurs moi non plus... enfin, si !
Le syllabus de DROIT PUBLISLSUQD.... hum de droit public bien serré dans mes poings en sueurs, mon front rouge et les veines apparentes j'ai envie de hurler ! mais ça non plus vous n'en avez rien à foutre...
donc de quoi est ce que je vais bien pouvoir parler ??? !!!
mais de rien... vu que personne ne lit !
Dernier mot, pour la fin... une supplique... :
Si quelqu'un avait la bonté de me soulager de cet examen de droit... ce serait avec grande bonté que je le remercierai
Mais vont ils arrêter de se battre ? ? ?
Je peux pas leur reprocher de s'amuser, mais quand ils profitent des examens pour doubler le volume des rires et des coups dans la gueule... rahaahahahaha... le tout "gracieusement" mis en mélodie ( si je puis m'exprimer ainsi ) par un saxophone qui m'éclate les oreilles... mais bon ça vous n'en avez rien à foutre.
D'ailleurs moi non plus... enfin, si !
Le syllabus de DROIT PUBLISLSUQD.... hum de droit public bien serré dans mes poings en sueurs, mon front rouge et les veines apparentes j'ai envie de hurler ! mais ça non plus vous n'en avez rien à foutre...
donc de quoi est ce que je vais bien pouvoir parler ??? !!!
mais de rien... vu que personne ne lit !
Dernier mot, pour la fin... une supplique... :
Si quelqu'un avait la bonté de me soulager de cet examen de droit... ce serait avec grande bonté que je le remercierai
mardi, mars 15, 2005
Vive le taureau...
ralalalala ! je me demande ce que je vais bien pouvoir faire, avec le temps libre que j'ai, j'en fait encore moins qu'avant, je deviens une larve.
C'est comme si le temps passait encore plus vite quand on en a, incroyable, j'ai déjà presque 20 ans, et rien n'a changé, les journées s'enchaînent à un vitesse dingue, les arbres perdent leur feuille et j'ai l'impression que le lendemain ils sont aussi vert qu'avant... j'ai peur, déjà en mars et tout le monde n'a qu'une chose en bouche a part cette st toré... C'est bientôt Pâques ! mais moi rien que de voir un oeuf en plastique posé sur une tranche de paté à la boucherie ça me donne des nausées... pas à cause du paté, ni de l'oeuf ...quoique... si c'est bien cet oeuf qui m'agace, qui me donne envie de me barrer, parce que cette fête au croupion de la poule n'est autre pour moi que synonime de blocus, d'étude, de stress bref, ça me fait penser aux examens. Alors que j'ai l'impression d'être rentré la semaine derniere dans le second semestre, on nous parle déjà d'examen...
Chacun réagit à sa manière, il y a celui qui s'en fout parce qu'il sait qu'il va rater ou bien au contraire celui qui s'en fout parce qu'il est sur de lui, il y a aussi ceux qui jouent à l'autruche en se cachant sous leur oreiller, ceux qui s'y prennent à la dernière minute... enfin en gros ! tous ces gens ont statistiquement deux chances sur trois de se planter en beauté, chose que les professeurs aigris aiment à rappeller ! enfin ! je vous souhaite à tous une bonne bloque et n'oubliez surtout pas ! 1/3... saisis ta chance....
ralalalala ! je me demande ce que je vais bien pouvoir faire, avec le temps libre que j'ai, j'en fait encore moins qu'avant, je deviens une larve.
C'est comme si le temps passait encore plus vite quand on en a, incroyable, j'ai déjà presque 20 ans, et rien n'a changé, les journées s'enchaînent à un vitesse dingue, les arbres perdent leur feuille et j'ai l'impression que le lendemain ils sont aussi vert qu'avant... j'ai peur, déjà en mars et tout le monde n'a qu'une chose en bouche a part cette st toré... C'est bientôt Pâques ! mais moi rien que de voir un oeuf en plastique posé sur une tranche de paté à la boucherie ça me donne des nausées... pas à cause du paté, ni de l'oeuf ...quoique... si c'est bien cet oeuf qui m'agace, qui me donne envie de me barrer, parce que cette fête au croupion de la poule n'est autre pour moi que synonime de blocus, d'étude, de stress bref, ça me fait penser aux examens. Alors que j'ai l'impression d'être rentré la semaine derniere dans le second semestre, on nous parle déjà d'examen...
Chacun réagit à sa manière, il y a celui qui s'en fout parce qu'il sait qu'il va rater ou bien au contraire celui qui s'en fout parce qu'il est sur de lui, il y a aussi ceux qui jouent à l'autruche en se cachant sous leur oreiller, ceux qui s'y prennent à la dernière minute... enfin en gros ! tous ces gens ont statistiquement deux chances sur trois de se planter en beauté, chose que les professeurs aigris aiment à rappeller ! enfin ! je vous souhaite à tous une bonne bloque et n'oubliez surtout pas ! 1/3... saisis ta chance....
mardi, août 24, 2004
Vîîîîîîîîî FLOU !
Il est minuit, une nuit de pleine lune, un cri se fait entendre, une respiration halletante... des oreilles poussent... SHERMINATOR ? non ! le vîîîî Flou , le vicieux, le sournois, le barbare, le méchant, le vilain, le mauvais, le filou, LE VI FLOU !
Il sort de sa caverne, grogne et mord ce qu'il trouve, héhéhé son cri héhéh peyeyéhéhé, il fait son petit sournois qui a faim, le petit gosse malheureux...
Il vit dans son arbre, au fond des bois, dans un nid faid d'os de chêvre, si vous l'entendez, partez et ne vous retournez pas, le VI flou aura vite fait de vous attraper, sa vieille bouche de prout va vous gober par l'intérieur et vous serez à votre tour le vi flou , qui nage, qui frappe et qui viole femmes et enfants hahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahaha
hahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahaha
Il est minuit, une nuit de pleine lune, un cri se fait entendre, une respiration halletante... des oreilles poussent... SHERMINATOR ? non ! le vîîîî Flou , le vicieux, le sournois, le barbare, le méchant, le vilain, le mauvais, le filou, LE VI FLOU !
Il sort de sa caverne, grogne et mord ce qu'il trouve, héhéhé son cri héhéh peyeyéhéhé, il fait son petit sournois qui a faim, le petit gosse malheureux...
Il vit dans son arbre, au fond des bois, dans un nid faid d'os de chêvre, si vous l'entendez, partez et ne vous retournez pas, le VI flou aura vite fait de vous attraper, sa vieille bouche de prout va vous gober par l'intérieur et vous serez à votre tour le vi flou , qui nage, qui frappe et qui viole femmes et enfants hahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahaha
hahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahaha
lundi, août 23, 2004
Imaginez...
Que nous faisons un extraordinaire saut dans le temps, que nous nous retrouvions il y a quelques millions d'années et que l'herbe n'existe pas ! il ne faudrait plus la tondre, plus d'électricité, plus d'argent, plus de maisons, plus de téléphone ni même de grosse simone !
C'est à ce moment que vous verrez la merveille de la création ! le grand vaisseau des Coalas, ceux qui nous on donné le pouvoir de nous démultiplier ! à l'infini ! de nous guérir par le savoir, car le clonage est possible et il est nécessaire pour nous afin que nous puissions retourner sur la planête coala ! le paradis perdu, si loin, lorsque nous aurons fini de construire la soucoupe mes frères, nous réciterons le 7e mantra sacré jusqu'à ce que le soleil se couche, puis se lève et se recouche et se relève enfin ! pour communiquer notre énergie psionique au vaisseau spatiale, il ne vous en coutera rien, vous ne perdrez rien, si ce n'est de l'argent mais que voulez vous, il n'a de valeur qu'en ce bas monde ! pas chez les Coales ... n'oubliez pas que votre famille vous veux du mal car vous êtes entourés d'une aura indigo héroïque et interstellaire, sans quoi vous n'auriez pu franchir la barrière qui nous sépare vous et moi !
quand je pense que des gens arrivent à foutre ça dans le crâne de certaines personne ! c'est incroyable quand même ! www.rael.org ... n'y restez quand même pas trop longtemps
Que nous faisons un extraordinaire saut dans le temps, que nous nous retrouvions il y a quelques millions d'années et que l'herbe n'existe pas ! il ne faudrait plus la tondre, plus d'électricité, plus d'argent, plus de maisons, plus de téléphone ni même de grosse simone !
C'est à ce moment que vous verrez la merveille de la création ! le grand vaisseau des Coalas, ceux qui nous on donné le pouvoir de nous démultiplier ! à l'infini ! de nous guérir par le savoir, car le clonage est possible et il est nécessaire pour nous afin que nous puissions retourner sur la planête coala ! le paradis perdu, si loin, lorsque nous aurons fini de construire la soucoupe mes frères, nous réciterons le 7e mantra sacré jusqu'à ce que le soleil se couche, puis se lève et se recouche et se relève enfin ! pour communiquer notre énergie psionique au vaisseau spatiale, il ne vous en coutera rien, vous ne perdrez rien, si ce n'est de l'argent mais que voulez vous, il n'a de valeur qu'en ce bas monde ! pas chez les Coales ... n'oubliez pas que votre famille vous veux du mal car vous êtes entourés d'une aura indigo héroïque et interstellaire, sans quoi vous n'auriez pu franchir la barrière qui nous sépare vous et moi !
quand je pense que des gens arrivent à foutre ça dans le crâne de certaines personne ! c'est incroyable quand même ! www.rael.org ... n'y restez quand même pas trop longtemps
dimanche, août 22, 2004
Revla le gros lard
éh oui ! il se ramène, ça faisait si longtemps que je m'étais plus mis à faire ça, POSTER ! , ça me fait du bien, ça me rappelle de bons souvenirs, bon ! bien hop ! on va remettre tout ça à jour, changer de template et tout le bazar, mais j'ai peur que comme toujours, je ne tienne pas mes bonnes résolutions ...
éh oui ! il se ramène, ça faisait si longtemps que je m'étais plus mis à faire ça, POSTER ! , ça me fait du bien, ça me rappelle de bons souvenirs, bon ! bien hop ! on va remettre tout ça à jour, changer de template et tout le bazar, mais j'ai peur que comme toujours, je ne tienne pas mes bonnes résolutions ...
Under Pressure.
A l'heure qu'il est je devrais être au lit, la tête pleine de démonstrations de logique, le cerveau en ébullition prêt à attaquer l'examen. Frais et dispo demain matin, je pourrais alors me plonger dans un questionnaire qui me paraitra facile et intéressant... tout cela n'est qu'un rêve; comme à l'habitude, je vais me lever tout mou, aigri par une nuit chaude, je prendrai le train, je relirai encore et encore, 9h, l'examen commencera, je commencerai à sécher sur une feuille de papier remplie de sigles incompréhensible pour la plupart des gens ! ... tout ça pour rien ! enfin enfin... il faut que je réussisse hein ! mais bon ce n'est qu'une feuille de papier, elle n'a rien de menaçant, elle est blanche et pure, magnifique ce contraste noir blanc qui sera bientot souillé par des notes illisibles même pour moi ! des erreurs grosses comme des maisons dont je ne me rendrai même pas compte... je sortirai de là en me disant que j'ai réussi... finalement à la remise des bulletins... une cote honteuse... mais enfin, c'est la vie, je suis surement très mauvais, j'ai peut-être juste peur de rater... je ne sais pas pourquoi... je suis si intelligent...HUM ! j'ai envie d'encore hurler à Banneux
A l'heure qu'il est je devrais être au lit, la tête pleine de démonstrations de logique, le cerveau en ébullition prêt à attaquer l'examen. Frais et dispo demain matin, je pourrais alors me plonger dans un questionnaire qui me paraitra facile et intéressant... tout cela n'est qu'un rêve; comme à l'habitude, je vais me lever tout mou, aigri par une nuit chaude, je prendrai le train, je relirai encore et encore, 9h, l'examen commencera, je commencerai à sécher sur une feuille de papier remplie de sigles incompréhensible pour la plupart des gens ! ... tout ça pour rien ! enfin enfin... il faut que je réussisse hein ! mais bon ce n'est qu'une feuille de papier, elle n'a rien de menaçant, elle est blanche et pure, magnifique ce contraste noir blanc qui sera bientot souillé par des notes illisibles même pour moi ! des erreurs grosses comme des maisons dont je ne me rendrai même pas compte... je sortirai de là en me disant que j'ai réussi... finalement à la remise des bulletins... une cote honteuse... mais enfin, c'est la vie, je suis surement très mauvais, j'ai peut-être juste peur de rater... je ne sais pas pourquoi... je suis si intelligent...HUM ! j'ai envie d'encore hurler à Banneux
mardi, janvier 13, 2004
Mauvaise passe
Je dois passer par une mauvaise passe, un brin énervé. J'ai l'impression que mon blog est nl mais nul à mourir, mais vraiment hein! qui voudrait lire des imbécilités pareil... puis il n'y a rien de vraiment spécial à ce blog, même si je viens d'essayer de changer la template, rien n'est bon, rien n'est beau... manque de compétences, manque de moyens, manque de créativité, manque de tout ! dépouillé, nu, remise en question : " c'est nul !"
Je me demande si je vais encore bloguer d'ailleurs... je me demande si qqn va réagir enfin à mes posts... peut etre jamais... quelle nullité... si tu veux en juger o toi qui me lit, regarde donc les archives et constate... constate à quel point on frole le mauvais... on le touche d'ailleurs... SOIT! bonne nuit les gens qui ne me lisent pas...e t les rares qui viennent
Je dois passer par une mauvaise passe, un brin énervé. J'ai l'impression que mon blog est nl mais nul à mourir, mais vraiment hein! qui voudrait lire des imbécilités pareil... puis il n'y a rien de vraiment spécial à ce blog, même si je viens d'essayer de changer la template, rien n'est bon, rien n'est beau... manque de compétences, manque de moyens, manque de créativité, manque de tout ! dépouillé, nu, remise en question : " c'est nul !"
Je me demande si je vais encore bloguer d'ailleurs... je me demande si qqn va réagir enfin à mes posts... peut etre jamais... quelle nullité... si tu veux en juger o toi qui me lit, regarde donc les archives et constate... constate à quel point on frole le mauvais... on le touche d'ailleurs... SOIT! bonne nuit les gens qui ne me lisent pas...e t les rares qui viennent
lundi, janvier 12, 2004
Un oiseau
Un oiseau sur une branche ça fait pipi
La chanson n'est pas longue elle est finie
et pour vous emmerder
on va la rcommencer
Un oiseau sur une branche ça fait pipi
La chanson n'est pas longue elle est finie
et pour vous emmerder
on va la rcommencer
Un oiseau sur une branche ça fait pipi
La chanson n'est pas longue elle est finie
et pour vous emmerder
on va la rcommencer
Un oiseau sur une branche ça fait pipi
La chanson n'est pas longue elle est finie
et pour vous emmerder
on va la rcommencer
Un oiseau sur une branche ça fait pipi
La chanson n'est pas longue elle est finie
et pour vous emmerder
on va la rcommencer
Un oiseau sur une branche ça fait pipi
La chanson n'est pas longue elle est finie
et pour vous emmerder
on va la rcommencer
...
( au moins je ne tourne pas en rond ici...)
Un oiseau sur une branche ça fait pipi
La chanson n'est pas longue elle est finie
et pour vous emmerder
on va la rcommencer
Un oiseau sur une branche ça fait pipi
La chanson n'est pas longue elle est finie
et pour vous emmerder
on va la rcommencer
Un oiseau sur une branche ça fait pipi
La chanson n'est pas longue elle est finie
et pour vous emmerder
on va la rcommencer
Un oiseau sur une branche ça fait pipi
La chanson n'est pas longue elle est finie
et pour vous emmerder
on va la rcommencer
Un oiseau sur une branche ça fait pipi
La chanson n'est pas longue elle est finie
et pour vous emmerder
on va la rcommencer
Un oiseau sur une branche ça fait pipi
La chanson n'est pas longue elle est finie
et pour vous emmerder
on va la rcommencer
...
( au moins je ne tourne pas en rond ici...)
mercredi, janvier 07, 2004
Just a Thought
Kill me before you die... c'est de
tala.. tala.. la chanson se finit, tout doucement, comment pour nous endormir, tenter de nous donner un peu de fausse sérénité.. fausse à cause de cette phrase, de cette angoisse... pas tellement l'angoisse de sa mort, mais l'angoisse de la mort de l'autre. C'est uun peu comme sa propre mort. La fatigue m'assaille mais le sommeil ne vient pas. J'ai toutes les raisons du monde d'être heureux, ou en tout cas quand je me pose cette question j'en ai l'impression, et je me plains, je me lamente comme ces gros phoques, aidez moi à retrouver un peu de bonne humeur... juste un peu...enfin personne ne répondra à cee post de tristesse... rassurez vous je ne vais pas ma suicider !!! mais bon, petite déprime... d'ailleurs je me délecte de cet état un peu gris, qu'il est délicieux de ressentir ce que je suis en train de ressentir, cette légère tristesse qui s'empare de moi...
hum...
Kill me before you die... c'est de
i am kloot
, la chanson s'appelle because et je trouve ça très beau. Pour ceux qui ne connaissent pas encore ce groupe allez visiter ce site d'un bon groupe de Manchester. Je me sens triste et mal à l'aise en ce moment, je ne sais pas pourquoi. Peut-être est-ce cette chanson... ou alors, je ne sais pas. Il y a des moments durant lesquels on a envie de rien faire... mais on est forcé...tala.. tala.. la chanson se finit, tout doucement, comment pour nous endormir, tenter de nous donner un peu de fausse sérénité.. fausse à cause de cette phrase, de cette angoisse... pas tellement l'angoisse de sa mort, mais l'angoisse de la mort de l'autre. C'est uun peu comme sa propre mort. La fatigue m'assaille mais le sommeil ne vient pas. J'ai toutes les raisons du monde d'être heureux, ou en tout cas quand je me pose cette question j'en ai l'impression, et je me plains, je me lamente comme ces gros phoques, aidez moi à retrouver un peu de bonne humeur... juste un peu...enfin personne ne répondra à cee post de tristesse... rassurez vous je ne vais pas ma suicider !!! mais bon, petite déprime... d'ailleurs je me délecte de cet état un peu gris, qu'il est délicieux de ressentir ce que je suis en train de ressentir, cette légère tristesse qui s'empare de moi...
hum...
mardi, janvier 06, 2004
samedi, janvier 03, 2004
tendres retrouvailles
un bruit sourd se fait entendre dans la maison. Quelqu'un frappe à la porte. Vous vous levez... un chat passe entre vos jambe et soudain bardaf... la chute, l'embardée sur ce pauvre chat qui n'a rien demandé d'autrte que de pouvoir marquer son territoire en paix! ... Reprenant néanmoins votre courage à bras le corps, vous parvenez à vous relevez tout en dépoussièrant vos vêtements salis par la couche légère et ouateuse de poussière qui jonche le sol depuis au moins douze mois. Chemin faisant, le bruit retentit à nouveau et plus fort... un cri... PAPAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaaaaa........ mais... vous n'avez pas d'enfant ! enfin pas à ce vous sachiez... cela ne peut pas être le fils que vous auriez conçu cette nuit là avec la grosse madou à Chambéry... cela ne peut être ainsi...Curiosité l'emportant toujours chez vous, vous ouvrez malgré tout la porte... mon dieux... une fille ! avec une voix si grave... et une moustache si fournie ! Dégout surmenant, vous vomissez sur vos chiffons et puis... plus rien.. elle pleure en grognant. Comme un petit goret...
QUI EST CETTE FILLE ???
vous vous décidez au bout de 35 minutes à lui poser cette question... mais qui était-elle ? ... C'est la petite Kelly née le 26 mai 2003 !! elle veut votre retour monsieur...
Kelly ne fut que la première à venir ce jour là... ce personnage n'étant pas très imporrtant, vous éviterez de lui poser trop de question, encore est elle trop jeune. Pour continuer, les visites durèrent toute la nuit... c'est ainsi que votre serviteur est revenu de son séjour prolongé à jardinland BONJOUR MES AMIS
un bruit sourd se fait entendre dans la maison. Quelqu'un frappe à la porte. Vous vous levez... un chat passe entre vos jambe et soudain bardaf... la chute, l'embardée sur ce pauvre chat qui n'a rien demandé d'autrte que de pouvoir marquer son territoire en paix! ... Reprenant néanmoins votre courage à bras le corps, vous parvenez à vous relevez tout en dépoussièrant vos vêtements salis par la couche légère et ouateuse de poussière qui jonche le sol depuis au moins douze mois. Chemin faisant, le bruit retentit à nouveau et plus fort... un cri... PAPAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaaaaa........ mais... vous n'avez pas d'enfant ! enfin pas à ce vous sachiez... cela ne peut pas être le fils que vous auriez conçu cette nuit là avec la grosse madou à Chambéry... cela ne peut être ainsi...Curiosité l'emportant toujours chez vous, vous ouvrez malgré tout la porte... mon dieux... une fille ! avec une voix si grave... et une moustache si fournie ! Dégout surmenant, vous vomissez sur vos chiffons et puis... plus rien.. elle pleure en grognant. Comme un petit goret...
QUI EST CETTE FILLE ???
vous vous décidez au bout de 35 minutes à lui poser cette question... mais qui était-elle ? ... C'est la petite Kelly née le 26 mai 2003 !! elle veut votre retour monsieur...
Kelly ne fut que la première à venir ce jour là... ce personnage n'étant pas très imporrtant, vous éviterez de lui poser trop de question, encore est elle trop jeune. Pour continuer, les visites durèrent toute la nuit... c'est ainsi que votre serviteur est revenu de son séjour prolongé à jardinland BONJOUR MES AMIS
mardi, juin 03, 2003
Un tiroir...une armoire...
Papy avait décidé de se relever, le temps passé devant la fenêtre de cette cabane forestière l'avait peut-être rendu las au bout de ces 4 heures. 4 heures à regarder la pluie lécher ses minces vitres onduleuses, déformant les arbres, leur donnant une nouvelle forme, rendu plus flou encore ce tapis de brindilles boueuses, parsemé de champignons, limaces et vers. Il alla attiser le feu, se frotta les mains, s'assit sur son vieux fauteuil à lignes vertes et bordeaux, terne, triste et morne. Il était tout près de la cheminée, les bras croisé sur son ventre gonflé par le temps, peut-être un signe avant-gardiste de sa mort prochaine. De ses mains caleuses, il prit la petite boîte en fer blanc, sur laquelle il y avait le portrait de la famille royale et qui auparavant contenait des biscuits secs, des sablés, des chocolats. Probablement que c'était son fils qui lui avait offert... Ce petit porc de Norbert... ou sa soeur, la douce Bernadette. Cette boîte contenait des fragments picturaux de lui, d'eux, de tout ces autres qui l'avaient rendu Lui, qui l'avaient fait tel qu'il était, auprès de qui sa vie était devenue plus belle, moins triste, plus chaude. C'était si loin tout ça, le froid s'infiltrait en un long râle sous la porte... A la châleur du feu, notre vieil homme s'endormit, le feu s'éteind, la larme qu'il avait laissé couler le long de sa joue ridée avait gelé... son coeur ne battait plus.
Papy avait décidé de se relever, le temps passé devant la fenêtre de cette cabane forestière l'avait peut-être rendu las au bout de ces 4 heures. 4 heures à regarder la pluie lécher ses minces vitres onduleuses, déformant les arbres, leur donnant une nouvelle forme, rendu plus flou encore ce tapis de brindilles boueuses, parsemé de champignons, limaces et vers. Il alla attiser le feu, se frotta les mains, s'assit sur son vieux fauteuil à lignes vertes et bordeaux, terne, triste et morne. Il était tout près de la cheminée, les bras croisé sur son ventre gonflé par le temps, peut-être un signe avant-gardiste de sa mort prochaine. De ses mains caleuses, il prit la petite boîte en fer blanc, sur laquelle il y avait le portrait de la famille royale et qui auparavant contenait des biscuits secs, des sablés, des chocolats. Probablement que c'était son fils qui lui avait offert... Ce petit porc de Norbert... ou sa soeur, la douce Bernadette. Cette boîte contenait des fragments picturaux de lui, d'eux, de tout ces autres qui l'avaient rendu Lui, qui l'avaient fait tel qu'il était, auprès de qui sa vie était devenue plus belle, moins triste, plus chaude. C'était si loin tout ça, le froid s'infiltrait en un long râle sous la porte... A la châleur du feu, notre vieil homme s'endormit, le feu s'éteind, la larme qu'il avait laissé couler le long de sa joue ridée avait gelé... son coeur ne battait plus.
lundi, mai 26, 2003
Vieux SCHNOK
Sur son banc, il regardait les pigeons s'approcher de lui, il craignait toujours qu'un deux serve d'image à la mort. Comme une sorte d'annonce, sa vie ne tenait plus qu'à un fil, une épée de Damoclès pendait à quelques mètres au dessus de son crâne maintenant reluisant et ses tempes enneigées. Ses yeux sont usés, un écran de 2 cm de verre le sépare de la vie réelle qu'il a trop vu... il a vu tellement de choses le vieux, entendu tellement de cris... perdu tellement d'ami, que le simple fait de marcher le rend triste... alors il râle, il se plaind, il grogne sur cette jeunesse heureuse, l'avenir bien devant elle et lui déjà bien devant sa vie... Parfois, dans son lit de veuf, il pleure, il regrette de pas avoir fait tout ce qu'il aurait du faire dans sa petite vie, il se relève difficilement, plus dur chaques jour de trouver une motivation pour profiter de la journée. Ses enfants, ils ne viennent que rarement, sauf sa fille qui lui rend visite tout les jours, au début c'était bien, mais maitnenat elle l'emmerde comme il dit. Il sait que bientôt il ne saura plus rien faire, que ses genoux bouffés par le temps ne lui permetteront plus de marcher. Il sait qu'un jour il se fera laver par une femme qu'il ne connait pas, qu'on le prendra pour un con, qu'il ne pourra plus réagir. De temps en temps, les petits enfants, pour qui il s'est battu pendant la guerre viennent lui jetter de la merde sur la porte.. en gueulant VIEUX SCHNOK, parmis les gosses il y a le petit Brandon, la petite Lorie et Kelly... il est triste le vieux.... j'aimerais bien parler à un vieil homme, ils sont gentils parait il ... et ils ont pleins de choses à raconter, mais ne les emmerdez pas non plus !
Sur son banc, il regardait les pigeons s'approcher de lui, il craignait toujours qu'un deux serve d'image à la mort. Comme une sorte d'annonce, sa vie ne tenait plus qu'à un fil, une épée de Damoclès pendait à quelques mètres au dessus de son crâne maintenant reluisant et ses tempes enneigées. Ses yeux sont usés, un écran de 2 cm de verre le sépare de la vie réelle qu'il a trop vu... il a vu tellement de choses le vieux, entendu tellement de cris... perdu tellement d'ami, que le simple fait de marcher le rend triste... alors il râle, il se plaind, il grogne sur cette jeunesse heureuse, l'avenir bien devant elle et lui déjà bien devant sa vie... Parfois, dans son lit de veuf, il pleure, il regrette de pas avoir fait tout ce qu'il aurait du faire dans sa petite vie, il se relève difficilement, plus dur chaques jour de trouver une motivation pour profiter de la journée. Ses enfants, ils ne viennent que rarement, sauf sa fille qui lui rend visite tout les jours, au début c'était bien, mais maitnenat elle l'emmerde comme il dit. Il sait que bientôt il ne saura plus rien faire, que ses genoux bouffés par le temps ne lui permetteront plus de marcher. Il sait qu'un jour il se fera laver par une femme qu'il ne connait pas, qu'on le prendra pour un con, qu'il ne pourra plus réagir. De temps en temps, les petits enfants, pour qui il s'est battu pendant la guerre viennent lui jetter de la merde sur la porte.. en gueulant VIEUX SCHNOK, parmis les gosses il y a le petit Brandon, la petite Lorie et Kelly... il est triste le vieux.... j'aimerais bien parler à un vieil homme, ils sont gentils parait il ... et ils ont pleins de choses à raconter, mais ne les emmerdez pas non plus !
lundi, mai 19, 2003
L'appartement
L'appartement était assez petit, il y avait à peine place pour 3 personnes, les 10m² suffisaient à peine à la famille. Les murs étaient décrépis, sales, écorchés, jaunatres, putrides. Ils dégageaient une puanteur nauséabonde, ce genre d'odeur dont on craint ne pouvoir jamais se débarrasser, qui reste longtemps à agresser le nez. Le sol était couvert d'une moquette criarde elle meme couverte par un grisonnant tapis de poussière accumullé au fil des 7 derniers mois. Le mobilier semblait dépouillé, nu, des meubles bon marchés, récupérés dans les fonds de greniers tronaient un peu comme de vieux sages posés sur leurs pieds bancaux, vermoulus, le vernis qui les avait longtemps couvert partait en vieilissant d'abord aux pieds, puis sur les portes des armoires. Une commode, une étagères, un grand lit et un divan, une table bleue aux bord noirs en fer récupérée de l'ancien mobilier du précédent locataire. Tous ces meubles exprimaient une désolation, une déchance sociale. La cuisine était petite, exigue, une fenetre sale, marron au dessous qui dégradait vers le jaunatre. Le soleil passait difficilement à travers la fenetre de cette cuisine peu équipée. C'est dans ce 2 pièce que se retrouvent Brandon, 7 ans, et ses parents, Josianne et Jacky.
L'appartement était assez petit, il y avait à peine place pour 3 personnes, les 10m² suffisaient à peine à la famille. Les murs étaient décrépis, sales, écorchés, jaunatres, putrides. Ils dégageaient une puanteur nauséabonde, ce genre d'odeur dont on craint ne pouvoir jamais se débarrasser, qui reste longtemps à agresser le nez. Le sol était couvert d'une moquette criarde elle meme couverte par un grisonnant tapis de poussière accumullé au fil des 7 derniers mois. Le mobilier semblait dépouillé, nu, des meubles bon marchés, récupérés dans les fonds de greniers tronaient un peu comme de vieux sages posés sur leurs pieds bancaux, vermoulus, le vernis qui les avait longtemps couvert partait en vieilissant d'abord aux pieds, puis sur les portes des armoires. Une commode, une étagères, un grand lit et un divan, une table bleue aux bord noirs en fer récupérée de l'ancien mobilier du précédent locataire. Tous ces meubles exprimaient une désolation, une déchance sociale. La cuisine était petite, exigue, une fenetre sale, marron au dessous qui dégradait vers le jaunatre. Le soleil passait difficilement à travers la fenetre de cette cuisine peu équipée. C'est dans ce 2 pièce que se retrouvent Brandon, 7 ans, et ses parents, Josianne et Jacky.
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